Bonjour à toutes et à tous, ici Jean-Marc Leblanc. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur : l'anglais dans le monde des affaires internationales. Alors, pourquoi l'anglais est-il devenu, eh bien, la langue incontournable du commerce mondial ? C'est pas juste une question de mode, hein. Si on regarde le 20ème siècle, on voit que l'anglais a pris une place énorme, surtout après la Seconde Guerre mondiale. Les États-Unis sont devenus une superpuissance économique, et avec eux, leur langue s'est imposée dans les échanges commerciaux. Mais c'est pas tout, hein, il y a aussi le Royaume-Uni, qui avait déjà posé pas mal de bases avec son empire. Bref, les grandes entreprises, les organisations internationales, elles ont toutes adopté l'anglais pour faciliter la communication. C'est plus simple, plus rapide, et ça évite pas mal de malentendus. Je le vois tous les jours à l'université de Paris : mes étudiants sont de plus en plus motivés à apprendre l'anglais, parce qu'ils savent que c'est la clé pour s'ouvrir au monde. Certains me disent même, "Jean-Marc, si je veux bosser chez L'Oréal ou chez Total, faut que je parle anglais, sinon c'est mort." Et franchement, ils ont pas tort.Alors, parlons un peu de ce que ça change concrètement, d'avoir un bon niveau d'anglais. Je vais pas vous mentir, aujourd'hui, si vous voulez décrocher un poste à l'international, ou même viser un poste de direction, l'anglais, c'est indispensable. Dans la finance, par exemple, tout se fait en anglais. Les réunions, les rapports, même les blagues autour de la machine à café, parfois ! Pareil dans le marketing, où les campagnes sont souvent pensées pour un public global. Et dans la tech, alors là, c'est même pas la peine d'espérer avancer sans l'anglais. Je me souviens d'un étudiant qui voulait bosser dans la cybersécurité ; il m'a dit, "Jean-Marc, tous les outils, tous les tutos, c'est en anglais !" Et il avait raison. Maintenant, la vraie question, c'est : est-ce qu'on devrait rendre l'anglais obligatoire dans toutes les formations en business ? Honnêtement, je suis partagé. D'un côté, ça ouvrirait des portes à tout le monde, mais de l'autre, on risque de mettre de côté ceux qui ont plus de mal avec les langues. Je sais pas, c'est un vrai débat. Peut-être qu'il faudrait trouver un équilibre, genre proposer des parcours bilingues, ou des modules spécifiques. Enfin, c'est mon avis, mais je suis curieux de savoir ce que vous en pensez, vous aussi.Bon, et maintenant, qu'est-ce qui nous attend ? Est-ce que l'anglais va continuer à dominer le commerce international ? Franchement, j'ai du mal à imaginer le contraire. Regardez des boîtes comme Airbus, ou même Samsung, qui est coréenne à la base, mais où la langue de travail, c'est l'anglais. C'est devenu la norme, surtout quand les équipes sont dispersées un peu partout dans le monde. Je me rappelle d'une ancienne étudiante, Claire, qui galérait un peu avec l'anglais au début. Elle a bossé dur, elle a persévéré, et finalement, elle a décroché un super job à Singapour, dans une boîte internationale. Elle m'a écrit un mail pour me dire que sans l'anglais, elle n'aurait jamais eu cette opportunité. Ça m'a vraiment fait plaisir, et ça montre bien que, même si c'est pas toujours facile, ça vaut le coup. Voilà, on arrive à la fin de cet épisode. Merci d'avoir écouté, j'espère que ça vous a donné matière à réfléchir. On se retrouve très bientôt pour un nouvel épisode sur l'importance de la langue anglaise. À la prochaine !

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L'anglais dans la musique